Hamimi Arezky est l’un des fondateurs du Full-boxing de Firminy. Il

 

nous raconte la naissance de son club :

   

     « En 1975, le full-contact était un sport nouveau et à la mode. Nous

 

avons ouvert cette section au centre social Sous-Paulat, en collaboration

 

avec son directeur André Gayton. Puis nous avons rejoint le gymnase

 

municipal de la Tardive, celui qui fait face au lycée Albert-Camus.

 

     Depuis 18 ans, nous sommes installés au dojo des Noyers ».

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        Pour les plus jeunes, nous enseignons des chorégraphies sans

 

aucun coup violent.

 

        Les amateurs de sports de combat de tous âges se retrouvent sur

 

les tatamis de l’école sportive, avec des entraînements adaptés aux

 

différents niveaux.

 

      « Il est important de ne pas prendre de mauvaises habitudes, insiste

 

Hamimi Arezky. Cela commence par les enfants avec lesquels on se doit

 

d’être patient. Il faut de la pédagogie. Ils apprennent à travers des jeux et

 

sans aucune violence. Il est strictement interdit de frapper fort. Pour eux,

 

c’est du light-contact avec des touches légères. C’est une sorte de

 

chorégraphie distillée. »

 

         Des règles s’imposent dans ce sport codifié et les respecter fait

 

partie de l’enseignement. C’est également une discipline qui offre une

 

multitude de bienfaits sur le plan de l'équilibre mental.

 

          Le full-contact apprend également à gérer le stress. Il augmente la

 

confiance en soi, oblige le combattant à canaliser son énergie. « Un

 

avantage certain pour les plus jeunes, lorsqu'ils se trouvent dans les

 

cours d’école », précise Hamimi Arezky.

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        La discipline est aussi très complète sur le plan physique. Elle fait

 

travailler tous les muscles.

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         Le club appelou attire aussi bien les filles que les garçons.